Monsieur le ministre,
Dernièrement, Madame avait un rendez-vous, organisé par Monsieur, dans un hôtel avec un amant de 35 ans.
Bel homme, bien fait, intelligent... tous les éléments étaient réunis pour passer un bon moment.
Le jeune homme n'aimait pas seulement les femmes. Son attirance pour l'argent revenait souvent dans la conversation, celle qui devait contribuer à l'approche entre les deux corps.
La femme posa la main sur la cuisse du bellâtre pour mettre fin à la discussion pécuniaire et passer aux choses sérieuses.
La poitrine pulpeuse de la belle fût ignorée. Le clitoris n'eut pas les honneurs de la langue de l'inconnu et resta enfoui sous son capuchon. La mollesse du membre imita quelques va-et-vient. La dame laissa le monsieur descendre du septième... mouvement de hanche. La maîtresse, de cet unique soir, ne voulu pas simuler et resta stoïque. Une façon de lui faire comprendre que si les femmes ne se retournaient pas après un week-end en amoureux passé avec lui, c'est qu'elle n'avait pas eu leur compte... dans le formule 1 loué en périphérie de tataouine les bains. Le jeune homme avait stipulé qu'il avait plus de facilités à garder son argent que ses conquêtes.
Oui, messieurs dames, le monde médical va mal, très mal, car ce pauvre jeune homme a quelques années d'étude en médecine derrière lui et il ne sait pas où se trouve le clitoris.
Monsieur le ministre des finances, j'en appelle à votre bon sens. Il est temps de prendre langue avec votre confrère du ministère amère et de revoir les fondamentaux de la vie. Avé clitoris
