Annonce
Pour survivre, il faut que j'écrive
Que celui qui saigne me suive
Les fous, volent avec les grisards
Les marins sont imbibés comme des buvards
Pour embarquer, je veux que tu saches
Pour mourir les sirènes se cachent
Notre avenir reste incertain
Je fuis la lumière du matin
J'ajouterai, pour tout te dire
Les chats, noirs, les rapaces, j'attire
Je n'attends rien, cela va sans dire
Les rats abandonnent le navire
Tu sais, aimer, c'est un fardeau
Mon c?ur se noie dans un verre d'eau
Ne sombre pas dans les sanglots
La bière et le rhum coulent à flots
Malgré ça, si tu t'accroches
Tu fais fondre mon c?ur de pierre
Tu brilles comme une étoile de mer
Ton nom signifie, Cristal de Roche
Et si, par mégarde, je m'égare
ton doux visage sera mon phare
Éclaires-le d'un joli sourire
Cadran, compas, si je chavire
Les oiseaux de mauvais augure
Sifflent nos mésaventures
Ma coque craque par les cassures
Le rafiot fuit par les fissures
Si tu me dévoiles tes ficelles
Pour toi, sculpte, des statues de sel
Si tu me livres tes mystères
Je te suivrais jusqu'aux enfers
N'aie pas peur d'attraper ma rage.
Le scorbut rôde dans les parages
Tes yeux m'apportent le courage
Je serai le rempart de tes naufrages
Peut-être, atteindrons nous cette île
Où, les enfants mangent les crocodiles
Où, toujours, rime avec idylle
Où, la vie est un long fleuve tranquille
Les pirates enfouissent leur trésor
Sur ton dos nu, je m'évapore
Les poètes t'ont couverte d'or
Ils vantent la beauté de ton corps
Mon bateau brûle dans la tempête
Résonnent, tambours et trompettes
La mort attend sur l'autre rive
L'arôme des fruits dans ta salive
Tes baisers terrassent la peine
Comme, les lions haïssent les hyènes
Les hommes trahissent le capitaine
Aux tréfonds du désert, s'échouent les baleines
Lointaines contrées, sur mes peintures
Les vagues rêvent de ta chevelure
Lame émoussée, à ma ceinture
Tatouée, ta peau, de créatures
Que celui qui saigne me suive
Les fous, volent avec les grisards
Les marins sont imbibés comme des buvards
Pour embarquer, je veux que tu saches
Pour mourir les sirènes se cachent
Notre avenir reste incertain
Je fuis la lumière du matin
J'ajouterai, pour tout te dire
Les chats, noirs, les rapaces, j'attire
Je n'attends rien, cela va sans dire
Les rats abandonnent le navire
Tu sais, aimer, c'est un fardeau
Mon c?ur se noie dans un verre d'eau
Ne sombre pas dans les sanglots
La bière et le rhum coulent à flots
Malgré ça, si tu t'accroches
Tu fais fondre mon c?ur de pierre
Tu brilles comme une étoile de mer
Ton nom signifie, Cristal de Roche
Et si, par mégarde, je m'égare
ton doux visage sera mon phare
Éclaires-le d'un joli sourire
Cadran, compas, si je chavire
Les oiseaux de mauvais augure
Sifflent nos mésaventures
Ma coque craque par les cassures
Le rafiot fuit par les fissures
Si tu me dévoiles tes ficelles
Pour toi, sculpte, des statues de sel
Si tu me livres tes mystères
Je te suivrais jusqu'aux enfers
N'aie pas peur d'attraper ma rage.
Le scorbut rôde dans les parages
Tes yeux m'apportent le courage
Je serai le rempart de tes naufrages
Peut-être, atteindrons nous cette île
Où, les enfants mangent les crocodiles
Où, toujours, rime avec idylle
Où, la vie est un long fleuve tranquille
Les pirates enfouissent leur trésor
Sur ton dos nu, je m'évapore
Les poètes t'ont couverte d'or
Ils vantent la beauté de ton corps
Mon bateau brûle dans la tempête
Résonnent, tambours et trompettes
La mort attend sur l'autre rive
L'arôme des fruits dans ta salive
Tes baisers terrassent la peine
Comme, les lions haïssent les hyènes
Les hommes trahissent le capitaine
Aux tréfonds du désert, s'échouent les baleines
Lointaines contrées, sur mes peintures
Les vagues rêvent de ta chevelure
Lame émoussée, à ma ceinture
Tatouée, ta peau, de créatures