Alors... On est deux, et chacun a son truc. Elle ? Elle fond quand on lui mordille le lobe d'oreille en remontant doucement jusqu'à la nuque genre je te tiens, mais je te lâche pas des yeux. Moi ? J'aime sentir vos mains glisser sur moi sans prévenir, juste parce que vous en avez envie. Baisers partagés, évidemment. Les siens sont plus doux, les miens... disons plus affamés. On alterne. On se regarde faire. Et parfois, on vous laisse choisir qui commence. Pas de dress code, pas de rôle. Juste nous trois ou quatre qui se découvrent sous la couette, ou contre le mur du couloir.
Et si tu veux vraiment qu'elle perde pied, tu descends là où tout palpite déjà, là où sa petite perle est gonflée, prête à exploser sous ta bouche. Tu traces des cercles très lents avec la langue, comme si tu écrivais un secret sur sa chaleur, et tu sens tout devenir fluide, liquide, vivant. Quand elle commence à trembler sans contrôle, tu glisses un doigt doux et curieux, tu cherches le rythme qu'elle n'osait même pas imaginer. Elle se cambre, elle jure, son souffle dit merci avant même qu'elle n'ouvre la bouche.
Et là, elle l'ouvre justement, pas pour parler, juste pour laisser échapper un oh qui vibre comme un fil tendu. Si tu es bien raide, bien chaud, tu poses simplement la tête contre sa langue, sans forcer. Elle goûte la veine qui bat, elle sent ton pouls comme si ton coeur s'était installé là, et elle referme, suce, grogne... jusqu'à ce que ton cerveau fonde complètement, goutte à goutte, dans sa gorge.
Si tout ça vous fait vibrer comme nous, glissez-nous un petit salut coquin. On répondra, promis. Le premier soupir suffira.
