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Un lien peut en cacher un autre...
C'était un soir de printemps. L'air était doux, chargé de promesses. Deux couples, quatre amis. Mais entre elle et moi, quelque chose avait déjà changé. Une première fois, marquante, s'était glissée entre nous sous le regard de mon homme. Depuis, nos corps se souvenaient.
Ce soir-là, les jeux ont commencé comme un simple prétexte. Un gage ici, un défi là... Rapidement, les regards sont devenus plus lourds, les gestes moins innocents. Quand elle a tiré le mauvais pion, le gage fut simple : se laisser masser. Par lui. Mon homme. Elle n'a pas hésité. Je me suis glissée derrière elle, mes mains sous son haut, pendant que les siennes remontaient lentement ses cuisses.
Son compagnon observait, silencieux, tendu, fasciné.
Je lui ai soufflé à l'oreille : « Tu veux encore qu'on joue, comme la dernière fois ? » Elle a gémi un « oui » presque suppliant. Et tout s'est enchaîné. Mon homme la faisait fondre sous ses mains pendant que je l'embrassais, que ses fesses cherchaient déjà sa queue tendue. Bientôt, elle fut nue, offerte, mouillée. Mon corps glissait sur le sien pendant qu'il la prenait avec force.
Nos souffles, nos cris, nos caresses ? et lui, l'autre, n'a pas résisté longtemps avant de nous rejoindre. Il me prit à son tour...
Ce n'était que le début d'un long week-end. Une soirée jeux, transformée en terrain de plaisir. À quatre, liés par l'envie, sans fausse pudeur.
Et toi, tu veux jouer avec nous ? Attacher, goûter, céder, jouir ?
Mais les vraies règles du jeu... seront données en privé.
C'était un soir de printemps. L'air était doux, chargé de promesses. Deux couples, quatre amis. Mais entre elle et moi, quelque chose avait déjà changé. Une première fois, marquante, s'était glissée entre nous sous le regard de mon homme. Depuis, nos corps se souvenaient.
Ce soir-là, les jeux ont commencé comme un simple prétexte. Un gage ici, un défi là... Rapidement, les regards sont devenus plus lourds, les gestes moins innocents. Quand elle a tiré le mauvais pion, le gage fut simple : se laisser masser. Par lui. Mon homme. Elle n'a pas hésité. Je me suis glissée derrière elle, mes mains sous son haut, pendant que les siennes remontaient lentement ses cuisses.
Son compagnon observait, silencieux, tendu, fasciné.
Je lui ai soufflé à l'oreille : « Tu veux encore qu'on joue, comme la dernière fois ? » Elle a gémi un « oui » presque suppliant. Et tout s'est enchaîné. Mon homme la faisait fondre sous ses mains pendant que je l'embrassais, que ses fesses cherchaient déjà sa queue tendue. Bientôt, elle fut nue, offerte, mouillée. Mon corps glissait sur le sien pendant qu'il la prenait avec force.
Nos souffles, nos cris, nos caresses ? et lui, l'autre, n'a pas résisté longtemps avant de nous rejoindre. Il me prit à son tour...
Ce n'était que le début d'un long week-end. Une soirée jeux, transformée en terrain de plaisir. À quatre, liés par l'envie, sans fausse pudeur.
Et toi, tu veux jouer avec nous ? Attacher, goûter, céder, jouir ?
Mais les vraies règles du jeu... seront données en privé.